Un baiser soufflé comme entrée dans un blogue?? génial Non..il est pour moi celui là ahha..Non je rigoles mais moi ça me fait du bien quand j'ouvres mon blogue et que j,imagine un bisou soufflé qui m'éffleure la joue.....Donc il est pour moi :) et à ceux qui ouvre mon blogue...sauf la gente masculine.......

mardi 26 janvier 2010

Dorian Gray


Le Portrait de Dorian Gray (Dorian Gray) est un film britannique réalisé par Oliver Parker, sorti le 9 septembre 2009 en Grande-Bretagne. Adaptation très libre du roman d'Oscar Wilde. Avec 3 acteurs tout simplement géniaux, Colin, Ben et Ben :D
Ben Barnes (Dorian Gray), Colin Firth (Lord Henry Wotton), Rachel Hurd-Wood (Sybil Vane), Rebecca Hall (Emily Wotton), Emilia Fox (Lady Victoria Wotton), Ben Chaplin (Basil Hallward), Caroline Goodall (Lady Radly), Fiona Shaw (Agatha), Maryam d'Abo (Gladys)


Dorian Gray, petit-fils de Lord Kelso et fils de Margaret Devereux, est un bourgeois londonien à l'époque victorienne. Élégant et d'une grande beauté, son ami Basil Hallward lui offre alors de le peindre, L'ami de ce dernier, Lord Henry Wotton, surnommé Harry, rencontre par hasard Dorian un jour en venant chez Basil. Il deviendra vite l'ami du jeune Dorian.

L'œuvre de Basil est terminée, et il s'avère qu'elle est le plus beau tableau jamais peint. Dorian affirme qu'il donnerait tout, y compris son âme, pour que le portrait vieillisse à sa place, et que lui-même garde à jamais sa jeunesse et sa beauté. Ce qu'il regrettera amèrement...
"personnellement j'ai adoré, bien que le films soit assez différent du livre, on sait que rare sont les romans qui sont adaptés au cinéma et qu'ils soient identiques aux livres. Mais il faut lire le livre pour le savoir et comprendre d'autres passages. Juste les scènes d'orgie. Mais étant donné que le roman date de 1891, ils devaient bien mettre une petite dose de ci..et de ça...pour plaire au public, ils ont même inventé un personne, Emily qui dans le livre, n'existe pas. Mais un livre reste un livre...et un films, un films. On pourrait presque croire à un films d'horreurs mélangé à de la porno. Cependant Sybil semble nunuche un peu, mais elle l'est aussi dans le livre, mais je l'imaginais pas aussi nunuche. Mais quand on regarde l'ensemble de l'oeuvre....surtout les costumes, c'est tout simplement sublime. Et faut pas le cacher, Dorian est craquant mais à la fois tellement enrangeant, deux côtés de la médaille..on a parfois envie de le baiser ou de le tuer ahaha..... Ceci dit, je veux remercier une collègue qui m'a trouvé le films (MERCI HÉLÈNE), maintenant je peux le regarder dans le confort de mon salon, sans m'arracher les yeux devant mon écran d'ordi et à attendre que le films se charge ahha
Tiré du roman d'Oscar Wilde : Le Portrait de Dorian Gray est l'unique roman d'Oscar Wilde. Il le publie dans sa version définitive en 1891 . Cette œuvre hédoniste lui vaut une très grande notoriété, mais une partie du public anglais, sera choqué par l'immoralité du héros . Les nombreuses polémiques qui s'en suivront ne feront que renforcer le succès de Wilde
Dans sa préface, Oscar Wilde y développe sa théorie artistique :

"Dire d'un livre qu'il est moral ou immoral n'a pas de sens. Un livre est bien ou mal écrit - c'est tout."

Ce roman a pour héros, Dorian Gray, un dandy émerveillé par sa jeunesse et sa beauté, et qui mène une vie dissolue.

Mesurant mal les conséquences de ce pacte, Dorian Gray célèbre les joies du temps présent. Libéré de tout obstacle, il goûte les plaisirs faciles. Très rapidement, il est gagné par la débauche et la dépravation et ne prône que jouissance, cynisme, et perversion. Incapable d'éprouver le moindre remords, il ne craint pas de devenir un assassin. Si les années passent, le visage éblouissant de Dorian Gray, lui, ne subit aucune altération. C'est son portrait, protégé de tout regard, qui accumule les stigmates de sa dépravation.

Un soir, Dorian Gray prend peur devant cet horrible tableau. Dans un geste désespéré, il le lacère avec un poignard. En fait, ce couteau, c'est son propre coeur qu'il transperce. Au même moment son visage se métamorphose en celui du vieillard qu'il aurait dû être, abîmé par les cicatrices de la débauche. Le portrait, lui, reprend son éclat originel : celui d'un jeune homme à la beauté insolente.

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